Est-il nécessaire de douter pour apprendre?

Autor/inn/en	Connac, Sylvain; Robbes, Bruno
Titel	Est-il nécessaire de douter pour apprendre? Paralleltitel: Is it necessary to doubt in order to learn?
Quelle	In: Schweizerische Zeitschrift für Bildungswissenschaften, 44 (2022) 3, S. 338-350Infoseite zur Zeitschrift PDF als Volltext kostenfreie Datei (1); PDF als Volltext kostenfreie Datei (2); PDF als Volltext kostenfreie Datei (3) Link als defekt meldenVerfügbarkeit
Sprache	französisch
Dokumenttyp	online; Zeitschriftenaufsatz
ISSN	2624-8492
DOI	10.25656/01:25892 10.24452/sjer.44.3.4
URN	urn:nbn:de:0111-pedocs-258926
Schlagwörter	Phänomenologie; Interview; Kognitiver Konflikt; Problemlösen; Unsicherheit; Zweifel; Sekundarbereich; Lehrer; Schüler; Kooperatives Lernen; Lernprozess; Sozialer Konflikt; Gruppenarbeit; Lernmethode; Lernorganisation; Wirkung; Frankreich
Abstract	Many teachers organize student learning through group work sessions. These sessions unfold in two temporalities: after thinking individually about a situational problem, students must confront their opinions. The aim is to generate socio-cognitive conflict. Cognitive conflicts can arise from these controversies, along with uncertainties about the knowledge one possesses to solve the situational problem. We studied these processes among high school students who regularly experience working in groups. Using a phenomenological approach, we collected their opinions through semi-structured interviews, partly enriched with simple self-confrontations. The research concludes that several preponderant factors matter to the organization of group work sessions: the choice of a relevant situational problem as well as an individual and immediate retroactive application at the end of the session. (DIPF/Orig.). De nombreux enseignant·e·s choisissent d'organiser la construction des apprentissages de leurs élèves avec un temps de travail en groupe. Il consiste à étudier une situation-problème, à confronter leurs avis pour susciter du conflit socio-cognitif. De ces controverses peuvent naître des conflits cognitifs, associés à un état d'incertitude quant à la solidité des connaissances dont on dispose pour dépasser les obstacles. Nous avons étudié ces processus auprès de lycéen·ne·s. À partir d'une approche phénoménologique, nous avons collecté leurs avis grâce à des entretiens semi-directifs, en partie enrichis d'auto-confrontations simples. Les conclusions de cette recherche font apparaître plusieurs facteurs prépondérants pour l'organisation de séances d'enseignement avec du travail en groupe : du choix d'une situation-problème pertinente à la présence finale d'un temps individuel de mise en application immédiate rétroactée. (DIPF/Orig.).
Erfasst von	DIPF \| Leibniz-Institut für Bildungsforschung und Bildungsinformation, Frankfurt am Main
Update	2024/1